IA et maintenance : comment conserver un visage humain ?

À l’heure de la digitalisation, de nombreux services sont amenés à se baser sur le développement de tchatbots, d’intelligences artificielles et de logiciels en tous genres. Ces nouveaux outils favorisent la mise en place de services plus efficaces. Pour autant, l’ensemble de la population française n’est pas égal et tout le monde ne dispose pas du même accès aux nouvelles technologies. Aujourd’hui, certaines questions peuvent donc se poser. En effet, le développement extrêmement rapide de ces outils peut briser le lien qui unit un client à une marque. Alors, à l’heure du tout digital, comment faire en sorte que son entreprise de maintenance garde un visage humain ? Une question à laquelle nous allons répondre dans la suite de cet article.

IA et maintenance : comment conserver un visage humain ?
Chatbot, IA, logiciels : comment s’opère la digitalisation chez les mainteneurs ?
Les entreprises de maintenance, à l’heure du tout digital
L’IA, prête à révolutionner l’organisation des entreprises de maintenance ?
Maintenance : quels sont les avantages et inconvénients de ces services digitaux ?
Une présence accrue, pour une belle image de marque
Les nouvelles technologies, pour plus de productivité
Attention aux risques liés à la « technologie-dépendance »
Comment faire pour que son entreprise de maintenance garde un visage humain ?
L’humain, au cœur des stratégies d’entreprises de maintenance
L’intelligence artificielle, pour accompagner l’humain non pour le remplacer
Les opérateurs de maintenance, partenaire primordial
Conserver un visage humain malgré les nouvelles technologies : notre conclusion

Chatbot, IA, logiciels : comment s’opère la digitalisation chez les mainteneurs ?

Les entreprises de maintenance, à l’heure du tout digital

Aujourd’hui, de nombreuses entreprises travaillent et développent des outils permettant de déléguer certaines tâches considérées fut un temps comme uniquement gérables par l’Homme, à des outils technologiques. En effet, alors que la rentabilité est primordiale, certains usages jugés chronophages et inutiles sont désormais placés entre les mains de tchatbots, d’intelligences artificielles et de logiciels permettant la centralisation de données ou l’automatisation de certaines tâches.

Prenons l’exemple des réseaux sociaux ou des tchatbots d’entreprises :

Un tchatbot garantit une présence et une réponse à une question, 24 heures sur 24, sur le site internet ainsi que les réseaux sociaux. Une manière pour les entreprises de mettre la technologie en avant afin de filtrer certaines demandes parfois redondantes et chronophages. Dans le même temps, l’humain, l’employé, passe désormais plus de temps sur des tâches considérées comme étant à plus forte valeur ajoutée et devient plus rentable à l’entreprise.

L’IA, prête à révolutionner l’organisation des entreprises de maintenance ?

L’intelligence artificielle permet elle aussi de gérer certains aspects de son entreprise. En effet, comme nous avons pu le voir dans un article précédent, l’IA peut aider à mettre en place un calendrier cohérent, basé sur les connaissances, le savoir-faire et la situation géographique d’un intervenant de maintenance. Une manière là encore d’être plus efficace et rentable encore.

Enfin, certains outils risquent de débarquer sur le marché. Il y a quelques semaines, nous évoquions par exemple, le développement par notre entreprise Soo-Dispatch, de lunettes spécialisées sensiblement similaires à des Google Glass, qui seraient directement connectées au support en back office. Cela permettrait d’avoir un accès direct à de la documentation et des données importantes afin de mener à bien sa mission.

Maintenance : quels sont les avantages et inconvénients de ces services digitaux ?

Une présence accrue, pour une belle image de marque

La digitalisation s’opère rapidement et les entreprises bénéficient de ces nouvelles technologies afin de se concentrer sur l’essentiel. Comme nous avons pu le voir rapidement dans la partie ci-dessus, les avantages sont nombreux, à commencer par le désengorgement des services clients et des services d’accueil. En étant opérationnel à n’importe quelle heure de la journée, les entreprises s’offrent ainsi le luxe d’apporter réponses et conseils à l’ensemble des clients et prospects dès que ces derniers écrivent une demande sur le tchatbot.

De même, les réponses apportées concernent souvent des questions redondantes. Résultat, les salariés gagnent du temps et n’ont pas à gérer ces tâches. Ils peuvent alors se concentrer sur des tâches autrement plus importantes et la gestion de dossiers plus complexes. Les services concernés gagnent beaucoup de temps et avancent plus rapidement.

Les nouvelles technologies, pour plus de productivité

De manière générale, la digitalisation permet de gagner en productivité. Les pertes de temps sont limitées au profit d’une rentabilité retrouvée. En outre, en offrant un service plus proactif, une entreprise de maintenance apparaît comme étant l’autorité vers laquelle il est utile de se tourner. En effet, le service client apporte son lot de réponses, les rendez-vous sont rapidement pris, les techniciens et opérateurs d’installation sont plus rapidement au courant…

Attention aux risques liés à la « technologie-dépendance »

Malheureusement, la digitalisation à outrance pose quelques problèmes. En effet, le côté humain, autrefois mis en avant, est désormais balayé et mis de côté. De quoi réduire le lien entre la marque et la clientèle, notamment chez les TPE et les PME, spécialisées dans les secteurs de la maintenance et de l’installation. De même, les entreprises reposent désormais un peu trop sur les nouvelles technologies. En cas de problème lié à internet notamment, une mise à jour non fonctionnelle ou autre, les retards peuvent s’accumuler et entraîner une perte conséquente, d’un point de vue financier et d’image. La trop-dépendance est un risque.

Comment faire pour que son entreprise de maintenance garde un visage humain ?

L’humain, au cœur des stratégies d’entreprise

Une question se pose alors : comment faire pour que son entreprise de maintenance garde un visage humain ? Comme nous avons pu le voir, nous n’avons pas tous accès à la technologie. Certaines régions, certains départements sont un peu plus reculés. De même, l’accès à la technologie suggère chez les particuliers, un investissement conséquent : abonnement web, achat d’un ordinateur, de smartphones et autres.

Sans ces outils, des milliers de personnes sont mises de côté et ne peuvent avoir accès à certains des services proposés par une entreprise. Il faut donc faire en sorte que les entreprises acceptent de lier ces nouveaux usages, aux anciens (standard téléphonique, présentiel), afin de toucher l’ensemble de la clientèle.

L’intelligence artificielle, pour accompagner l’humain non pour le remplacer

Autre point à prendre en compte, les entreprises peuvent compter sur les outils digitaux et les nouvelles technologies, non pas pour gérer l’ensemble des processus de gestion, mais simplement pour les tâches les plus simples, redondantes et chronophages.

Les outils tels que des tchatbots ou des intelligences artificielles ne peuvent gérer et résoudre les problématiques les plus poussées. L’humain garde donc un rôle essentiel dans la résolution de problèmes complexes et tout n’est pas délégué à une simple machine.

Les opérateurs de maintenance, partenaire primordial

Enfin, dans le cadre de la maintenance et de l’installation, il convient de souligner le rôle important des opérateurs sur site. Les interventions ne se font pas (encore) par des machines ou des intelligences sophistiquées. Au contraire même, c’est bien l’opérateur qui permet de conserver ce lien entre la clientèle et l’entreprise. Il est donc important de lui fournir l’ensemble des outils nécessaires et le mettre dans des dispositions adéquates, afin de ne pas placer l’entreprise dans la case de ces sociétés qui ne tentent même pas de créer une relation plus juste.

Conserver un visage humain malgré les nouvelles technologies : notre conclusion

Les nouvelles technologies apportent leur lot de solutions. Notre logiciel Soo-Dispatch permet par exemple de gérer tout un ensemble de fonctionnalités dans le cloud, d’optimiser la gestion de ses équipes et d’améliorer la productivité de son entreprise grâce à un outil fonctionnel et personnalisable. Cependant, le tout digital entraîne une perte au niveau humain.

Le premier contact entre le client et l’entreprise se fait via une interface digitale et certains problèmes sont même gérés automatiquement par de bots. Afin d’assurer le côté humain de son entreprise, il ne faut surtout pas oublier de mettre les salariés dans les meilleures conditions et rappeler leur utilité. Enfin, il faut faire en sorte de ne pas briser le lien entre sa marque et les personnes les moins aptes à avoir accès à la technologie.

Maintenance : pourquoi mettre en place une zone d’intervention dédiée ?

Chez de nombreuses entreprises dont les collaborateurs ont tendance à être itinérants, une zone géographique est souvent dédiée. Peut-on faire de même chez les entreprises spécialisées dans la maintenance et l’installation ? La réponse est oui, du moins à condition que les sociétés concernées disposent des ressources nécessaires afin d’aller en ce sens. En effet, certaines PME agissent localement et n’ont donc aucun intérêt à prendre ce genre de décision. 

Pour les entreprises spécialisées qui œuvrent au niveau régional, voire plus, la question de délimiter certaines zones d’action se pose toutefois. Si la zone d’intervention d’un opérateur de maintenance est trop vaste, le temps passé entre chaque intervention sera trop important, de même que les frais kilométriques engendrés, rendant ainsi les opérations peu voire absolument pas rentables. Il convient donc d’imposer certaines délimitations. Mais comment procéder et quels sont les avantages à en tirer ? Une question à laquelle nous allons répondre, dans la suite de cet article.

Pourquoi mettre en place une zone géographique dédiée aux opérateurs de maintenance ?
1 – Délimiter les zones géographiques, pour plus de rentabilité
2 – Délimiter, pour des opérations de maintenance plus efficaces
3 – Imposer une zone géographique, pour renforcer son image de marque
4 – Structurer le champ d’interventions de maintenance, pour réaliser des économies
Comment allouer une zone géographique à ses opérateurs de maintenance ?
Définir des zones d’intervention pour plus d’efficacité
Faire preuve de diplomatie et de compréhension auprès des intervenants en maintenance
Analyser sa stratégie grâce à Soo-Dispatch+, logiciel pour entreprises de maintenance
Maintenance : pourquoi mettre en place une zone géographique d’intervention dédiée ? Notre conclusion

Pourquoi mettre en place une zone géographique dédiée aux opérateurs de maintenance ?

1 – Délimiter les zones géographiques, pour plus de rentabilité

Opter pour une délimitation des champs d’action de ses opérateurs de maintenance permet aux entreprises de réduire les coûts et donc, de devenir plus rentables. 

Prenons l’exemple de deux interventions dont les sites sont distants d’une centaine de kilomètres l’un de l’autre :

L’intervenant en charge de ces missions va perdre énormément de temps sur le retour, plus de 200 kilomètres aller et retour. De même, un mainteneur en chemin, n’est pas rentable, puisqu’il coûte de l’argent. L’essence, les frais kilométriques et l’usure de la voiture pèsent lourd dans les finances d’une société. Les frais engendrés peuvent-ils être couverts par ces deux missions ? 

En limitant le champ d’action de ses salariés, une entreprise de maintenance leur permet d’être plus longtemps sur site et donc d’être plus rentables, car ces derniers rapportent plus que ce qu’ils ne coûtent.

2 – Délimiter, pour des opérations de maintenance plus efficaces

De même, en limitant les déplacements des mainteneurs, les donneurs d’ordres leur permettent d’être plus concentrés sur les missions en cours. Le stress lié aux horaires d’arrivée, de départ, de trajet et d’heure de fin de mission sont totalement mis de côté au profit d’un rendu plus intéressant pour le client, mais également pour l’entreprise, qui s’offre une belle image. Moins pris par le temps, un employé aura à cœur de donner le meilleur de lui-même, de se challenger et aura l’assurance de bénéficier d’une balance entre sa vie professionnelle ainsi que sa vie personnelle, plus équilibrée.

3 – Imposer une zone géographique, pour renforcer son image de marque

Nous venons de le voir, en réduisant les temps de trajets entre chaque intervention, un mainteneur va gagner du temps sur site. Ces derniers vont également se spécialiser sur leur zone et apprendre à parfaitement la connaître. En se spécialisant sur un secteur précis, les temps de trajets vont être aussi réduits, mais surtout, l’opérateur de maintenance jouera le rôle de représentant pour son entreprise. 

En effet, la société s’offre un peu de visibilité supplémentaire sur un ou plusieurs secteurs précis ! Le lien qu’il tisse avec la clientèle permet également de la fidéliser. Enfin, le travail étant plus minutieux, les contraintes liées au stress du déplacement n’étant plus ressenties, la satisfaction client est plus importante.

4 – Structurer le champ d’interventions de maintenance, pour réaliser des économies

Dernier point en faveur de la délimitation géographique des zones d’interventions de maintenance, les économies réalisées. Comme nous avons pu le voir, les opérateurs de maintenance ne se déplacent plus sur de grandes zones. De fait, les coûts liés à l’automobile sont considérablement réduits. Les frais de déplacement peuvent être très importants pour une société dont les employés sont souvent sur la route.

Les frais d’usure et d’entretien augmentent également au fur et à mesure que le véhicule de fonction est utilisé. Ces économies sont donc bienvenues et peuvent être réinvesties utilement. Moins de quadrillage entraîne forcément un besoin en matériel ou en main d’œuvre plus important. De même, l’opérateur passe plus de temps sur site et peut donc prendre en charge plus d’opérations de maintenance.

Comment allouer une zone géographique à ses opérateurs de maintenance ?

Définir des zones d’interventions pour plus d’efficacité

Reste qu’il faut mettre en place cette stratégie de délimitation géographique, ce qui peut être parfois compliqué à faire accepter notamment chez les intervenants en maintenance et les installateurs ‘historiques’ de son entreprise.

Pour se faire, certains donneurs d’ordres se basent sur des points, comme :

  • Les besoins en interventions par zones géographiques : certaines zones plus peuplées que d’autres requièrent davantage d’intervenants. Il faut donc analyser la situation géographique avant de définir combien de personnes peuvent être disséminées sur place.

  • Les types d’intervention par zone : les capacités des intervenants ne se valent pas et tous n’ont pas les mêmes prédispositions. Sur certaines zones, certains besoins peuvent être plus orientés que d’autres, il faut donc jongler entre les aptitudes et la demande.

  • La disponibilité des collaborateurs : il serait indécent d’allouer à un mainteneur une zone géographique située à des heures de route de son domicile. Il faut donc faire en fonction de ses ressources. En privilégiant cet aspect là de la vie des employés, une entreprise permet aux siens d’évoluer dans d’excellentes conditions et de concilier vie professionnelle à vie personnelle. Dans le cas où un intervenant se retrouve à terminer le vendredi soir à 18h, à plus de 100km de son domicile, la situation sera irrémédiablement plus tendue. La bonne délimitation de la zone géographique permet donc à ses employés de concilier leur vie personnelle à leur vie professionnelle.

Faire preuve de diplomatie et de compréhension auprès des intervenants en maintenance

Annoncer la mise en place de zones géographiques pour opérations de maintenance requiert de la part des donneurs d’ordre, plusieurs qualités, dont :

  • De la diplomatie : il faut comprendre que les anciens usages sont adoptés par tous au sein de l’entreprise. Apporter des modifications peut entraîner une certaine latence et incompréhension chez les mainteneurs et installateurs qui ne comprendront pas pourquoi tout modifier. Il convient donc de fournir des explications claires et précises à ses équipes.

  • De la compréhension : faire preuve de compréhension est primordial pour les managers qui vont devoir démontrer toute leur psychologie et leur sens de la négociation afin de faire accepter et assimiler l’ensemble des nouvelles mesures souhaitées.

  • De l’adaptabilité : l’idée n’est pas d’imposer, mais d’optimiser. Ainsi, il faut être ouvert aux améliorations de l’idée de base et discuter avec ses équipes afin de faire évoluer les zones géographiques dédiées et leur imposer les meilleurs éléments.

Analyser sa stratégie grâce à Soo-Dispatch, logiciel pour entreprises de maintenance

Notre outil Soo-Dispatch permet d’assurer un excellent suivi des mainteneurs et opérateurs de maintenance. En effet, notre logiciel est 100% cloud et centralise toutes les données nécessaires au déroulement des opérations de maintenance à commencer par les kilomètres effectués par ses mainteneurs et installateurs.

Notre code couleur permet également de définir si une opération est sur le point de débuter, est en cours ou est sur le point de se terminer. Cela permet de suivre le bon déroulement des activités et surtout vérifier en temps réel si la stratégie de délimitation géographique est efficace, ou non !

Maintenance : pourquoi mettre en place une zone géographique d’intervention dédiée ? Notre conclusion

Mettre en place une zone géographique pour opérations de maintenance est nécessaire chez les entreprises de maintenance et d’installation qui disposent des ressources et de ce genre de besoins. En effet, cela permet d’être plus concentré et bien plus efficace sur une zone, mais également de réaliser des économies et de gagner en productivité grâce à une image de marque renforcée. 

Pour plus d’informations sur la mise en place d’une telle stratégie et l’utilisation d’outils dédiés afin de vous aider à piloter ces process, n’hésitez pas à nous contacter. Nous serons ravis de vous proposer de découvrir notre logiciel Soo-Dispatch à l’occasion d’une démonstration 100% gratuite et personnalisée !

Pourquoi anticiper la durée des opérations de maintenance ?

À plusieurs reprises, nous l’avons répété dans ce blog, l’organisation et la planification permettent de mieux organiser les journées de ses opérateurs de maintenance. Bien évidemment, de multiples facteurs sont à prendre en compte, à commencer par le nombre d’interventions à mener sur une journée ou les distances entre chaque site. Pour autant, d’autres paramètres entrent en compte chez les entreprises de maintenance et d’installation, soucieuses de construire sur des bases saines, comme l’anticipation de la durée des interventions de maintenance de ses techniciens.

En effet, en ayant une idée proche de la réalité concernant la durée des interventions de ses techniciens et opérateurs de maintenance, il est plus simple pour le management, de mettre en place des plannings efficaces. Cela permet d’être plus efficace, plus productif et donc de générer un chiffre plus important tout en renforçant son image de marque. Alors, pourquoi et surtout, comment anticiper la durée des interventions de ses techniciens de maintenance ? Une question à laquelle nous allons répondre dans la suite de cet article. 

Pourquoi anticiper la durée des opérations de maintenance ?
Anticiper la durée des interventions de maintenance, facteur de réussite
Pourquoi anticiper la durée des interventions de maintenance par ses opérateurs terrain ?
Durée des opérations de maintenance : gérer l’imprévu
Anticiper la durée des interventions de maintenance, pour une bonne image de marque
Comment anticiper les durées d’interventions de ses opérateurs de maintenance ?
1- Gérer et adapter ses plannings en fonction de l’expérience opérateur
2- Anticiper les durées d’interventions de maintenance grâce aux nouvelles technologies
Anticiper la durée des interventions de maintenance : notre conclusion

Anticiper la durée des interventions de maintenance, facteur de réussite

Pourquoi anticiper la durée des interventions de maintenance par ses opérateurs terrain ?

Il peut être assez difficile d’imaginer et d’anticiper avec une certaine précision, la durée des interventions de ses opérateurs maintenance. Pour autant, il est nécessaire de se pencher sur la question. En effet, en réussissant à analyser la durée des interventions de ses opérations de maintenance, il est bien plus simple de définir le rythme de travail estimé et donc de créer et structurer des plannings clairs et efficaces, autour d’un individu, d’une équipe. 

Chez les mainteneurs et les installateurs, la planification est l’une des quelques clés de bonne gestion. En effet, cela permet de mettre en place des équipes et de fédérer les salariés et intervenants autour de projets stimulants. En outre, cela peut également permettre de challenger les intervenants, autour de missions d’intervention compliquées et chronophages. En somme, cela facilite la structuration du calendrier et la bonne tenue des missions.

Durée des opérations de maintenance : gérer l’imprévu

Bien évidemment, certaines fois, quelques manquements peuvent arriver. Prenons ici l’exemple d’un donneur d’ordre, qui demande à l’un de ses opérateurs de maintenance, d’effectuer 3 à 4 interventions maintenance dans la journée. Or, l’une de ces missions a mal été anticipée et la charge de travail est finalement plus importante que ce qui a été prévu. Les missions prévues à la suite sont retardées et annulées. Dans ce cas précis, une solution doit être trouvée afin d’aider le client à obtenir le service souhaité, au risque de subir un déficit d’image et peut-être même, la perte d’un client.

Comment remédier aux imprévus ?

Afin de prévenir les manquements et les imprévus, une analyse complète et détaillée en amont des opérations à venir peut être effectuée. Cela permet de comprendre les enjeux autour de la mission et surtout, d’en définir les risques : s’agit-il d’une intervention risquée ? Est-il possible de découvrir d’autres problèmes plus importants ? Une discussion autour de ces points permet d’anticiper. En mettant en place une stratégie basée sur l’analyse, l’anticipation et la prise de décision partagée, une entreprise peut mieux gérer ces situations délicates.

À terme, les durées estimées d’intervention seront mieux appréhendées et il sera plus rapide pour l’ensemble des intervenants terrain, de travailler depuis des plannings cohérents. Cette façon de faire permet également aux techniciens de travailler dans de meilleures conditions.

Si un nombre de missions précis doit être réalisé à la journée et qu’une mission s’avère durer plus longtemps, l’opérateur de maintenance risque d’être submergé par le stress. L’anticipation et le fait de savoir que des solutions annexes existent, permettent de faciliter le quotidien. Enfin, des plannings clairs et cohérents permettent aux opérateurs de maintenance de concilier vie professionnelle et vie personnelle puisque ces derniers disposent d’heures précises et n’ont pas à rester de longues heures sur site.

Anticiper la durée des interventions de maintenance, pour une bonne image de marque

Anticiper la durée des interventions de maintenance permet également de garantir une belle image de marque et une fidélisation de la clientèle. En effet, dans le cas où un planning est relativement mal construit et surtout, mal adapté, les missions peuvent prendre du retard.

Sans un bon service client, c’est l’image de l’entreprise qui risque d’en pâtir : retard de plusieurs heures voire plusieurs jours, manque de flexibilité, absence de geste commercial, les raisons sont nombreuses pour qu’une entreprise perde en crédibilité.

Forcément, dans un secteur où le bouche-à-oreille et le réseautage jouent un grand rôle, il faut absolument faire preuve d’une certaine assurance au risque de vite se retrouver avec une mauvaise publicité. Cela entraîne un déficit d’image et une perte probable de clients fidèles.

Comment anticiper les durées d’interventions de ses opérateurs de maintenance ?

1- Gérer et adapter ses plannings en fonction de l’expérience opérateur

Il peut être relativement difficile d’imaginer combien de temps une intervention de maintenance peut ou va durer. Comme nous venons de le voir, les opérateurs ne sont pas à l’abri de mauvaises surprises. Or, il est simple d’établir une base sur laquelle construire des plannings cohérents. En se basant sur l’expérience et le reporting de missions précédentes, un donneur d’ordre peut imaginer combien de temps une prochaine mission sensiblement similaire prendra. 

Un autre point consiste à mélanger les expériences. En effet, un intervenant junior mettra forcément plus de temps qu’un opérateur de maintenance senior, ayant plusieurs années d’expérience. Ainsi, il peut être utile de les faire coopérer, afin de faciliter une transmission horizontale du savoir-faire. Cela permettra à terme de réduire le temps passé sur site par l’intervenant junior, tout en le rendant plus productif et donc rentable, grâce à sa montée rapide en compétence.

Afin d’anticiper les durées d’interventions de maintenance, il peut également être intéressant de se concentrer sur l’aspect kilométrique. En effet, en délimitant le champ d’action d’un intervenant de maintenance à une zone prédéfinie, les temps de latence sont considérablement réduits. De cette façon, une mission qui est supposée durer 3 heures (2h de trajet et 1h sur site) va forcément durer moins longtemps, permettant ainsi une organisation plus efficace.

2- Anticiper les durées d’interventions de maintenance grâce aux nouvelles technologies

Les nouvelles technologies favorisent également l’anticipation de la durée des interventions, ainsi que la réduction du temps passé sur site par les mainteneurs et installateurs. Un outil tel que Soo-Dispatch regroupe tout un ensemble de données afin d’étudier la durée des trajets des opérateurs entre un point A et un point B, la gestion des opérations (notamment grâce au code couleur clair et prédéfini, qui permet de déterminer avec précision qui agit, comment).

Ces données essentielles sont accessibles par toutes et tous en quelques clics.  Ce logiciel favorise également la génération de factures, grâce à des pré-modèles intégrés, ou encore l’accès au reporting, pour une analyse plus complète par individu et par équipes. De cette façon, les donneurs d’ores disposent d’un panel complet d’outils afin d’optimiser au mieux la gestion de leurs équipes et la mise en place de calendriers cohérents. 

Anticiper la durée des interventions de maintenance : notre conclusion

Anticiper la durée des interventions de maintenance de ses opérateurs, permet à une entreprise spécialisée dans les secteur de la maintenance et de l’installation, de travailler et optimiser les plannings de ses intervenants terrain tout en optimisant l’image de marque. En effet, en ayant une meilleure gestion des temps de transports ou encore des temps d’intervention, il est plus simple de créer tout un ensemble de process, permettant de délivrer d’excellentes prestations afin de contenter la clientèle.

Comment ? Les nouvelles technologies permettent d’avoir de nouveaux outils permettant de gérer au mieux ces aspects. Un logiciel tel que Soo-Dispatch permet d’analyser les reportings et d’optimiser les process en fonction des données perçues. Vous pouvez en apprendre plus sur notre outils en nous contactant pour une démonstration gratuite. Pour plus d’informations au sujet de ses fonctionnalités, n’hésitez pas à nous contacter.

La robotique est-elle l’avenir de la maintenance ?

Aujourd’hui, l’évolution technologique est telle que de nombreux outils permettent de mener à bien ses tâches professionnelles. Drones, intelligence artificielle, robotique, ces derniers sont pléthores. Aussi surprenant que cela puisse paraître, ces outils s’utilisent également chez les entreprises spécialisées dans les secteurs de la maintenance et de l’installation. 

En y regardant de plus près, ils effectuent bel et bien certaines tâches que l’Homme pouvait, un temps, être amené à réaliser. Fuites, routes, réseaux électriques, performances énergétiques, anticipation des problèmes grâce à l’I.A, l’automatisation ainsi que la robotique menacent à terme, de nombreux métiers. De là à être considérés comme l’avenir de la maintenance ? La question a effectivement le mérite d’être posée.

La robotique est-elle l’avenir de la maintenance ?
> La robotique est-elle l’avenir de la maintenance ?
La maintenance, un secteur à visage humain
> Quels sont les avantages de la robotique pour les mainteneurs ?
1 – La robotique assure plus de sécurité aux opérateurs
2 – L’automatisation assure un meilleur rendement
> Quels sont les désavantages de la robotisation à outrance ?
1 – Les process des mainteneurs sont en pleine évolution
2 – L’entreprise perd son rapport de proximité
3 – Soo-Dispatch, la technologie à visage humain
Robotique et maintenance, notre conclusion

La robotique, l’avenir de la maintenance ?

En ce qui concerne le secteur de la maintenance, la situation est pour le moins paradoxale. En effet, selon les estimations, le secteur devrait permettre la création de 42.000 emplois d’ici à 2022. Pour autant, plus les années avancent, plus la technologie devient complète et utile. Résultat, beaucoup se demandent à quoi pourrait ressembler la maintenance d’ici les dix, voire les quinze prochaines années. 

Il est vrai que cet essor des nouvelles technologies fait craindre le pire chez les professionnels du secteur : l’automatisation devient de plus en la norme.

La maintenance, un secteur à visage humain

Pour autant, si les outils se développent de plus en plus, l’humain a et aura toujours une place très importante dans les secteurs de la maintenance et de l’installation. En effet, la machine et les nouvelles technologies sont plutôt là pour épauler les professionnels, plus que pour les remplacer. Un constat qui vaut toutefois pour la période actuelle.

Prenons quelques exemples :

  • De nombreux véhicules favorisant la maintenance, comme les pelleteuses, les bulldozers, les camions, sont désormais connectés. Ils sont augmentés, à savoir qu’ils offrent la possibilité récolter des données en temps réel afin de faciliter le processus de prise de décisions et donc mieux gérer l’ensemble de son projet. Comme le rappelle Bilal Kaddouh, chercheur, certaines machines utilisées afin d’ouvrir des tranchées dans des rues peuvent automatiquement détecter et localiser la position des réseaux enterrés.

  • Toujours selon Bilal Kaddouh, dans le cadre de la gestion et la bonne maintenance des eaux usées par exemple, les inspections de canalisations d’eau potable, d’égouts, de sous-sols sont gérées par des petits robots qui récoltent certaines données relativement importantes. Ces tâches compliquées à réaliser par les humains sont donc déléguées. Pour autant, ces robots autonomes sont gérés à distance.

Quels sont les avantages de la robotique pour les mainteneurs ?

1 – La robotique assure plus de sécurité aux opérateurs

Bien évidemment, les nouvelles technologies présentent certains avantages, notamment pour les techniciens ainsi que les opérateurs de maintenance, principalement en ce qui concerne la question de la sécurité. En déléguant les tâches les plus difficiles à des outils gérés à distance, le technicien se met moins en avant et donc, moins en danger. 

Cela permet également de créer de nouveaux métiers, comme celui de gestionnaire de ces opérations. D’un autre point de vue, cela limite désormais les possibilités d’intervention des mainteneurs, qui sont peu à peu remplacés. Bien entendu, ces robots ne mènent pas encore à bien l’ensemble des missions des techniciens, qui peuvent se concentrer sur des projets plus accessibles et à forte valeur ajoutée, mais cela tend cependant à démontrer que la robotique gagne irrémédiablement du terrain.

2 – L’automatisation assure un meilleur rendement

Autre point intéressant, en déléguant une partie de la gestion de ses opérations à des robots, des chatbots ou encore des intelligences artificielles, les opérateurs de maintenance gagnent en efficacité, en rendement. En effet, les machines sont spécifiquement pensées pour mener à bien certaines opérations. Cela tend également à réduire les coûts. En effet, les machines sont efficaces, ne requièrent que peu d’entretien et apprennent à gérer certaines missions en l’espace de quelques secondes, grâce au machine learning. 

Quels sont les désavantages de la robotisation à outrance ?

1 – Les process des mainteneurs sont en pleine évolution

Pour autant, recourir à la robotique chez les mainteneurs présente quelques désavantages. En effet, les process évoluent ! Dans de nombreux secteurs, comme ceux de la maintenance en voirie ou de la maintenance en ascenseur, dont nous avons rapidement évoqué le sujet dans cet article, les opérations se font de manière préventive. Cela veut dire que les données récoltées vont permettre aux opérateurs d’agir avant que le problème ne se déclare réellement. 

2 – L’entreprise perd son rapport de proximité

La technologie à outrance tend également à déshumaniser le rapport de l’entreprise à ses clients. A terme, certains imaginent déjà les opérateurs de maintenance travailler en tant que simple gestionnaire robotique. Dans un récent article porté sur ce même sujet, nous évoquions ainsi l’importance de garder un côté humain afin de continuer à s’adresser à sa clientèle et véhiculer un message clair et de proximité.

3 – Soo-Dispatch, la technologie à visage humain

Les nouvelles technologies favorisent également l’anticipation de la durée des interventions, ainsi que la réduction du temps passé sur site par les mainteneurs et installateurs. Un outil tel que Soo-Dispatch regroupe tout un ensemble de données afin d’étudier la durée des trajets des opérateurs entre un point A et un point B, la gestion des opérations (notamment grâce au code couleur clair et prédéfini, qui permet de déterminer avec précision qui agit, comment). Ces données essentielles sont accessibles par toutes et tous en quelques clics.

Ce logiciel favorise également la génération de factures, grâce à des pré-modèles intégrés, ou encore l’accès au reporting, pour une analyse plus complète par individu et par équipes. De cette façon, les donneurs d’ores disposent d’un panel complet d’outils afin d’optimiser au mieux la gestion de leurs équipes et la mise en place de calendriers cohérents. Une manière de digitaline ses process, de les automatiser et donc, de les rendre encore plus performants.

Robotique et maintenance, notre conclusion

La robotique semble être l’avenir de la maintenance. Pour autant, les fantasmes liés au remplacement des humains par les robots ne semblent, à l’heure actuelle, pas fondés. En effet, selon les derniers chiffres, ces derniers accompagnent surtout les experts du domaine dans leurs tâches quotidiennes. À terme, d’ici une dizaine d’années, les choses pourraient toutefois évoluer, avec le développement de technologies plus rapides, plus performantes, plus accessibles. Pour autant, le secteur de la maintenance ne souffre pas et plus de 42.000 emplois devraient être créés dans les années à venir.

Intervention de maintenance : réduire le temps de trajet

Au quotidien, les trajets d’un opérateur de maintenance peuvent représenter entre 33 et 50% du temps de travail. Dès lors, la question du temps passé sur la route se pose. En effet, il peut être intéressant pour une entreprise de se pencher sur la question de l’optimisation des temps de trajets entre chaque intervention, afin de gagner en productivité.

En effet, pour une entreprise spécialisée dans les secteurs de la maintenance et de l’installation, une opérateur n’est rentable que lorsqu’il est sur site. En réduisant les temps de trajets, il est alors possible d’augmenter le nombre d’interventions.

Reste à déterminer comment opérer. Alors, comment réduire les temps de trajets entre chaque intervention pour les techniciens de maintenance et d’installation ? Une question à laquelle nous allons répondre dans la suite de cet article.

Comment réduire les temps de trajet entre chaque intervention de maintenance ?
1 – Réduire les temps de trajets des intervenants de maintenance grâce au digital
2 – Réduire les temps de trajets des opérateurs terrain, par la planification
3 – Optimiser les temps de trajets en améliorant la communication interne
4 – Se tourner vers les outils du quotidien (smartphone, application)
Soo-Dispatch, pour réduire les temps de trajets des opérateurs de maintenance 

Comment réduire les temps de trajet entre chaque intervention ?

1 – Réduire les temps de trajets des intervenants de maintenance grâce au digital

Qu’on se le dise, le temps du ‘tout-papier’, s’il n’est pas révolu, est sur le point de l’être. D’ici les prochaines années, le digital occupera 99% des stratégies d’entreprises. D’ailleurs, la crise actuelle liée au covid-19 participe à l’accélération de cette transition digitale, puisque les sociétés se retrouvent désormais obligées de se tourner vers des solutions leur permettant de continuer à travailler, même à distance.

Aussi insolite que cela puisse paraître, les entreprises spécialisées dans les secteurs de la maintenance et de l’installation doivent elles aussi embrasser ce virage numérique. Si les interventions se font toujours sur terrain, la gestion des projets peut être effectuée à distance. De même, le digital permet à ces sociétés d’optimiser un certains nombres de facteurs ayant un impact sur la trésorerie et la rentabilité, dont le temps passé sur route par les opérateurs terrain.

La transition numérique, facteur de productivité

Les vieux usages, à savoir la fameuse feuille de route, étaient et sont toujours peu pratiques. Les interventions étant prévues, en cas de soucis rencontrés les opérateurs sont obligés de dérouter ou rebrousser chemin. En suivant ses techniciens à distance, le management dispose de données utiles qu’il va pouvoir analyser dans son reporting afin d’optimiser le temps de trajets des opérateurs de maintenance. Cela passe également par une planification intelligente.

2 – Réduire les temps de trajets des opérateurs terrain, par la planification

Le numérique facilite grandement la vie des entreprises. S’il est désormais possible de suivre à la trace les kilomètres effectués par ses intervenants, une entreprise va devoir optimiser ces données, afin de rendre ses services plus efficaces et donc plus rentables.

En effet, le déplacement des opérateurs de maintenance est un facteur qui coûte cher à une société puisque plusieurs coûts sont impliqués :

  • En déplacement, un intervenant n’est pas sur site, il ne rapport donc rien
  • En plein trajets, un intervenant de maintenance entraîne des frais (kilométrique, d’usure). Ils coûtent donc plus que ce qu’il ne rapport.

Dans l’idée, il faut que ce dernier soit sur site plus souvent tout en se déplaçant moins, pour être plus rentable à sa société de maintenance.

Mais comment faire ? 

Planifier, délimiter et distribuer pour réduire les temps de trajets

Il faut planifier de manière efficace. Une région, un département peuvent être découpés en plusieurs zones géographiques qui seront ensuite attribuées à tel ou tel intervenant. Ce dernier aura pour mission de ne circuler et intervenir, que dans cette zone. En agissant ainsi, les déplacements se cantonnent à une zone précise, sont donc moins conséquents et l’intervenant en maintenance gagne du temps sur site. 

De même, planifier à l’avance permet d’avoir une idée précise des opérations de maintenance qui attendent l’opérateur. En effet, avec une feuille de route à la semaine, un intervenant sait ce qu’il a à faire et ce qu’il va devoir faire dans les jours à venir. En étant préparé à ces trajets et ses interventions sur le terrain, ce dernier sait précisément où il met les pieds. Mieux préparé, l’opérateur de maintenance peut également mieux gérer les imprévus qui peuvent être amenés à se déclarer. 

Enfin, l’intelligence artificielle permet, elle aussi, de mieux gérer ses plannings. Certains outils intelligents évaluent l’ensemble des possibilités et proposent un calendrier efficace et optimisé, que ce soit au niveau du nombre d’interventions à réaliser sur site, sur une période définie, ou sur une zone géographique définie.

3 – Optimiser les temps de trajets en améliorant la communication interne

La communication interne joue un grand rôle dans l’optique de mieux gérer les temps de trajets liés aux déplacements sur site des opérateurs de maintenance. En effet, en échangeant des informations rapidement et en temps réel, l’intervenant terrain et le donneur d’ordres renforcent la position de l’entreprise face aux imprévus. 

Prenons l’exemple d’une intervention en urgence :

L’intervenant terrain est en pleine intervention. La géolocalisation offerte par les outils digitaux permet au management de déterminer quel opérateur de maintenance se trouve à distance respectable du lieu d’intervention à venir, disposant des qualités et des connaissances nécessaires pour mener à bien la mission confiée.

Un appel, un message ou une notification lui permettent alors d’obtenir une information claire et détaillée sur le projet à venir. Notre outil Soo-Dispatch+ facilite cette transmission de données. En effet, il est possible de créer un cas, une « affaire », tout en incorporant dans le dossier un ensemble d’informations nécessaires et utiles ayant un rapport avec l’intervention (EDI, documentation, notes, contacts).

Ces informations permettent d’éviter les allers et retours entre lieu d’intervention et lieu de travail et donc, de partir directement sur site. De même, l’intervenant terrain choisi est celui qui se trouve le plus proche de l’endroit dont l’intervention doit se faire en urgence.

4 – Se tourner vers les outils du quotidien (smartphone, application)

Aujourd’hui, certains outils voire application permettent d’avoir accès aux informations importantes concernant la sécurité routière, le trafic et autres, directement en quelques clics. Des applications dédiées aident à contourner les routes bouchées ou accidentées, afin d’arriver en temps et en heure à son point d’arrivée. Certaines sont renommées, comme Google Maps ou Waze. Des outils gratuits et à disposition que les professionnels de la maintenance peuvent utiliser afin de réduire les temps de trajet entre chaque intervention.

Soo-Dispatch, pour réduire les temps de trajets des opérateurs de maintenance 

Un outil tel que Soo-Dispatch, 100% cloud, facilite la transmission des informations du management aux intervenants terrain, la remontée de données en temps réel ou encore l’enregistrement et le partage de documentation utile. Soo-Dispatch dispose également d’une fonctionnalité qui permet de définir, suivre et optimiser la mobilité de ses techniciens.

Ces fonctionnalités permettent de gagner du temps et en praticité. Un code couleur détermine ou en sont les opérateurs de terrain et un trackeur fait remonter les données kilométriques en cas de déplacement, en temps réel.

Vous souhaitez découvrir notre solution ? N’hésitez pas à vous renseigner au sujet de nos fonctionnalités et, le cas échéant, à nous contacter pour une démonstration gratuite et enrichissante.

Réduire le temps de trajet des opérateurs de maintenance : notre conclusion

Il est possible de mieux gérer les temps de trajet de ses intervenants terrain en améliorant la communication interne. Les outils désormais à portée facilitent la transmission de l’information et permettent de mieux absorber les aléas du quotidien. De même, en planifiant à l’avance (peut-être grâce à une IA) une entreprise offre à ses intervenants, la possibilité de mieux se préparer.

Mais le plus important reste probablement le quadrillage d’une zone définie. En limitant le champ d’action d’un opérateur de maintenance, une entreprise limite les longs déplacements et favorise les interventions sur zone. De cette manière, le nombre d’interventions est plus important puisque les temps de trajet sont considérablement limités.